Soirée d’étude avec Claude Birman
Jeudi 7 novembre 2019 à 20h30
L’unité de la Loi
Merci de nous confirmer votre présence par email à devarimproject@gmail.com .
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Date et Horaire : jeudi 15 février à 20h30
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Date et Horaire : Dimanche 25 Juin 2017 de 19h30 à 22h00
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Sa pensée s’organise autour de la question du rôle d’Amaleq parmi les Nations, entre liberté de choix et hasard. Où nous aurons l’occasion de croiser d’étonnantes anticipations des philosophies du 20e siècle, entre Sartre et Levinas.
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DEVARIM Project vous convie à une veillée d’étude avec Jérôme Benarroch et David Lemler dans la nuit de samedi 22 à dimanche 23 octobre sur le thème :
Que veut dire le talmud lorsqu’il dit que les femmes sont considérées comme circoncises ? (TB Avoda Zara 27a)
Lieu : Synagogue Sainte Anastase dans le Marais
Horaires : de minuit à 6h du matin
Merci de nous confirmer votre présence par email.
NB : veillez à ne pas faire de bruit dans la cour de l’immeuble qui est occupé par des habitations. Merci !
Moadim Lesimha et Shana tova !
Pour participer à un groupe d’étude ou obtenir des informations, contactez-nous via le formulaire de contact ou écrivez-nous à devarimproject@gmail.com
Etude quotidienne didactique du traité Baba Metsia ayant pour objectif de former des femmes à enseigner la guemara.
On sait que les travaux (melakhot) sont interdits chabbat, parce que c’est un jour de réjouissance. Théoriquement, accomplir un travail ce jour-là est presque aussi gravement condamnable que de tuer ou de commettre un inceste. La condamnation n’est cependant pas automatique, puisque plusieurs cas d’exemption existent.
Nous essaierons d’en étudier certains, telles que l’inadvertance, la non-intention, l’acte accidentel, l’action non-réfléchie, ou encore la non-nécessité du corps de l’acte.
Cela donnera à penser ce qu’est un acte véritable au sens de la tradition juive, et inversement ce qu’est la faiblesse humaine, excusable en dernière instance. L’étude portera sur différents passages du traité chabbat, en commençant par le début du 7ème chapitre, Clal Gadol, page 67b.
→ Tous les lundis soir sur 10 séances de 20h30 à 23h dans notre lieu d’étude et sur zoom. Première séance le 14 septembre 2020.
Qu’est-ce qu’un commandement ? Etude de l’introduction du Sefer ha-Mitswot de Maïmonide, avec David Lemler
Dans l’introduction de son Sefer ha-Mitswot, Maïmonide propose 14 règles qui permettent de déterminer ce qui, dans le texte biblique, doit être compté parmi les 613 commandements. Cette démarche soulève une série de questions. Pourquoi faudrait-il faire des listes de commandements, alors que le Talmud ne le fait pas ? Quel est le sens de la différence entre les commandements bibliques et les règles rabbiniques, ou encore entre la Tora écrite et la Tora orale ? Que signifie avoir entendu un commandement au Sinaï, s’il est nécessaire de le redécouvrir après coup par une méthode de lecture complexe du texte biblique ?
Telles seront les questions abordées au cours de notre étude.
→ Téléchargez les textes étudiés ici : Sources cours C. BIRMAN – l’Autorité
Le fondement de toute véritable autorité est dans l’idéal de liberté et de justice. Une et multiple, parentale, morale, et politique, l’autorité légitime a pour vocation d’orienter les vies familiale, sociale, et civique. C’est précisément ce dont traite la Bible, qui évoque tour à tour les gestes d’Abraham, Moïse et David. La vocation juive est donc de trouver comment s’approprier cette leçon, et comment témoigner de sa possibilité réelle, pour contribuer à sa réception générale.
→ Pour accéder aux textes étudiés sur le hametz, cliquez ici : Sources cours R. Spiber Hametz
→ Pour accéder aux textes étudiés sur hol hamoed, cliquez ici : Sources cours R. Spiber Hol Hamoed
→ Pour accéder aux textes étudiés sur le deuil du omer, cliquez ici : Sources cours R. Spiber Deuil du Omer
→ Pour accéder aux textes étudiés sur Shavouot, cliquer ici : Sources cours R. Spiber Shavouot
Etude suivie du 6ème chapitre du traité Baba Metsia « Il loue les services d’un ouvrier… »
Le législateur, dans le cadre de la tradition rabbinique n’est pas infaillible. Ainsi le grand Sanhédrin peut réaliser que ce qu’il a autorisé hier était en fait interdit. Qui aura suivi la décision d’hier du Sanhédrin aura donc fauté. Mais en sera-t-il tenu pour responsable ou est-ce le tribunal. Telle est la problématique travaillée dans le premier chapitre du traité Talmudique Orayot, dont nous proposons l’étude.
→ Pour participer à la réunion Zoom, vous devez vous inscrire : cliquer ici pour s’inscrire
→ Téléchargez les textes étudiés :
Sources cours B Maruani
Le concept de breira désigne dans la guemara la possibilité que le statut d’une chose ne soit déterminé qu’a posteriori, de manière rétroactive. Par exemple : effectuer oralement les prélèvements réglementaires sur la récolte alors que la détermination objective de la partie sur laquelle ils portent ne pourra avoir lieu que plus tard. Une telle procédure est-elle valide ? Doit-on considérer que l’écart entre la détermination symbolique et l’indétermination objective peut être recouvert rétroactivement ? Dans notre exemple : la partie qui restera de la récolte aura été ce que l’on a déterminé, bien qu’à ce moment on n’en sache rien, et que ça aurait pu être une toute autre partie de la récolte. Il s’agit donc d’une détermination comme suspendue, soumise à une contingence radicale, mais qui néanmoins parvient à trouver sa consistance, sur le mode de l’après-coup. On le voit, il y a là un enjeu majeur : jusqu’à quel point avons-nous prise sur une réalité incertaine et en devenir ? Quelles sont les limites de notre capacité à imposer à celle-ci notre propre ordre symbolique ?
Ce concept fait l’objet de débats dans la guemara. De manière intéressante, il s’agit d’un pur concept talmudique, sans source toraïque. De plus, il est transversal, en ce qu’il n’est pas lié à un domaine précis, mais se retrouve dans tout un ensemble de cas parfaitement hétérogènes. Idéal donc pour approcher la manière qu’a la guemara d’élaborer ses propres catégories de pensée.
Pour commencer, nous étudierons le début du 3ème chapitre du traité Guittin, pages 24a – 25b.
Assiduité et reprise entre les séances sont attendues pour ce cours.
Cycle annuel talmudique, avec Emmanuel Bonamy
Étude suivie et approfondie du 7ème chapitre de Baba Kama. Assiduité et reprise entre les séances sont attendues pour ce cours.
Etude talmudique : Tora et émancipation, avec Jérôme Benarroch
Etude de la 7ème Michna du premier chapitre du traité Kidoushin, puis de la Guemara, avec Jérôme Benarroch
Il s’agit de la source rabbinique de l’enseignement fameux qui dit que les femmes seraient dispensées des commandements qui dépendent du temps. À partir de cette source, d’autres passages talmudiques seront convoqués, dans le traité Soucca et dans le traité Sotah, à propos du cas de l’étude.
Etude talmudique sur l’accueil et le statut de l’étranger, avec Norbert Abenaïm
Etude du chapitre 5 du traité Avoda Zara, notamment les passages relatifs à l’expérience de l’exil, telle qu’elle est fondatrice de l’identité juive, dès la naissance du peuple en Égypte puis au cours de toute son histoire. Il en résulte une empathie envers l’étranger qui s’exprime maintes fois dans la Torah : l’exhortation d’aimer l’étranger est le commandement le plus répété. Le Talmud lui, distingue plusieurs types d’étrangers, qui ont chacun un statut, des droits et obligations spécifiques. Ces questions sont évidemment cruciales aujourd’hui où le devoir humanitaire semble pour certains entrer en conflit avec la préservation de l’identité.
Etude talmudique autour du Nom de Dieu, avec David Lemler
Etude de Sanhedrin, 56a et Berakhot, 33a. S’il est interdit de s’en faire des images, nous disposons de noms de Dieu. En disposer, signifie qu’ils constituent pour nous une voie d’accès à lui selon différentes facettes. En disposer signifie également qu’ils constituent pour nous des instruments, par lesquels nous pouvons l’invoquer, le convoquer à bon ou à mauvais escient. Le langage des hommes est ainsi habité par le divin – y compris lorsqu’on pense l’avoir congédié en dehors de notre monde ou dans l’intimité de la sphère privée (ne dit-on pas « Nom de Dieu! » ou « Oh my God! » sans y prendre garde ?). Dans le langage de Dieu, dire et faire, promettre et accomplir se confondent. Dès lors, en convoquant le nom de Dieu, l’humain s’expose, par le langage, à une double exigence de vérité : à la fois celle, objective, d’une correspondance de son langage et des choses et celle subjective d’une correspondance de son discours et de ses actes. Ainsi, dans les usages du langage impliquant le nom de Dieu (jurer, bénir, maudire, blasphémer) se joue rien moins qu’une réflexion sur l’humain en tant qu’être parlant. C’est à l’étude de ces divers usages que ce cycle est consacré.
Etude talmudique sur le fils rebelle, avec David Lemler
Le cas du fils rebelle élaboré de manière lapidaire dans quatre versets du Deutéronome (21, 18-21) présente des caractéristiques spécifiques que les Sages s’attacheront à détailler (San. 68b-72a).
Il ne correspond pas à la structure habituelle des interdits de la Torah : énoncé de l’interdiction, puis de la peine prévue. Ici, la condamnation semble entièrement (et scandaleusement) dépendante de la seule volonté des parents.
Comment comprendre la sévérité extrême du châtiment : la lapidation pour ne pas avoir écouté père et mère ? Comment peut-on condamner un « fils », si seules les personnes majeures sont responsables devant la loi ? Pourquoi ce cas qui semble concerner la relation d’un enfant à ses parents est-il investi d’une dimension politique, au point que la condamnation doit être proclamée publiquement ? Dans ce cas largement théorique, il y va en creux de la définition du type de subjectivité compatible avec une écoute de la Torah.
Houmach Rachi, avec Emmanuel Bonamy
L’objectif de cette série de cours, dont chacun sera structuré sur l’étude approfondie et participative de l’un des commentaires de Rachi sur le Houmach, est de comprendre sa méthode. Nous chercherons d’abord ce qui fait parler Rachi : quel problème présent dans les versets impose-t-il une explication ? Puis nous verrons que Rachi n’invente rien, mais ne fait qu’opérer une sélection dans l’immensité des sources traditionnelles (midrachim, guemarot…).
Il nous incombera alors d’étudier ces sources pour comprendre selon quels principes se fait cette sélection, et comment elle aboutit à une lecture précise et lumineuse des versets. Nous découvrirons enfin que cette lecture est originale, en la confrontant avec celle d’autres commentateurs médiévaux, notamment Ramban (Nahmanide) et Ibn Ezra.
Dans chaque étude, nous verrons comment le travail de Rachi est exemplaire de l’élaboration de la pensée à l’œuvre dans la Torah orale : partir d’une lecture exigeante de la Torah écrite, en passer par la confrontation à la pluralité des lectures possibles, pour en arriver au sens le plus novateur et le plus actuel.
Etudier Maïmonide sur la Avoda Zara, avec Joël Benhamou
Etude sur texte, mot à mot, du 1er chapitre des lois de la Avoda Zara dans le Michné Thora du Rambam.
Etude intertextuelle sur la figure du père, avec Philippe Zerbib
C’est la question du Père que nous continuerons de travailler cette année, à travers des textes aussi différents dans leur traitement que le talmud, le midrach et la halakha. La Guemara Yebamot nous enseigne que le père est structurellement absent dans les nations. Il n’y aurait donc de Père que dans le cadre d’Israël ! Qu’est- ce à dire ? Quelle représentation se fait la Tora de la figure Paternelle pour affirmer un tel postulat ? A travers un parcours dans les textes de la Tora Orale allant de Kidouchin en passant par Sanhedrin 8ème Perek, nous éprouverons d’abord que la Paternité n’est pas un droit mais une charge, qu’elle s’institue non pas à partir d’elle-même, mais à partir d’une autre instance qui l’oblige à faire passer à travers des mots une Parole, invitant chacun de ses enfants à découvrir un lien avec la transcendance, le Nom.
Etude talmudique : A qui appartiennent les lieux saints ? avec Norbert Abenaim
Le 4ème chapitre de la Guemara Meguila traite de la sainteté des synagogues. Au détour d’une discussion, surgit la question de la propriété du Temple. Seront également abordés la valeur de la prière et de l’étude.
Etude biblique et talmudique sur Amalek, avec Jérôme Benarroch
Traditionnellement, Amalek figure comme un peuple qui doit être tout bonnement exterminé. C’est le mal radical, qui semble exister de génération en génération. Pourtant, une véritable difficulté apparaît : la violence de l’extermination semble déraisonnable, l’ordre divin parle de frapper l’homme et la femme, jusqu’à l’enfant et l’animal.
Pour le fidèle, le sens de son obéissance à la Loi pose problème. Un conflit se dessine entre la piété, mesurée à l’aune du respect de la transcendance divine et ses motifs inaccessibles à la raison humaine, et le sens de la moralité et de l’humanité, qui ordonne de ne pas s’en prendre à des innocents pour la seule raison qu’ils appartiendraient par naissance à telle ethnie déterminée.
À travers une lecture de ce commandement particulier, c’est le sens de l’humanité et du devenir humain qui est en cause, et cette question passe par la compréhension précise de ce que signifient les ordres divins, posés dans l’Écrit « divin ».
Etude talmudique sur la honte, avec Emmanuel Bonamy
Sentiment intime par excellence, la honte est une notion révélatrice de la structure du sujet humain. Son expérience, en mettant en jeu l’image que nous avons – et que nous donnons – de nous-même, laisse apparaître la précarité fondamentale de notre être, et du même coup ce par quoi nous sommes toujours – en puissance – au-delà de nous-même, et ainsi capable d’être saisi par ce qui nous dépasse.
À partir de plusieurs textes, notamment du 8ème chapitre du traité Baba Kama, de l’interdit d’humilier autrui en public et des analyses croisées de la découverte de la honte dans le Jardin d’Eden et de son expérience au Sinaï, nous chercherons à comprendre ce qui se joue dans ce rapport paradoxal à soi, à l’intersection de l’intime et du social, de l’affectivité et du jugement, de la pudeur et du dévoilement.
Etude du « Perek ‘Helek », chapitre 11 du traité Sanhédrin du Talmud, avec Joël Benhamou (deux dimanches par mois).
On traduit souvent les notions de « Olam aba » et de « Te’hiyat hametim » respectivement par « monde futur » et « résurrection des morts ». Si habituellement ces notions, qui abordent celles de la « vie », la « mort » et la « vie après la mort », sont appréhendées sous l’angle de la mystique, il s’agit, dans le cadre de cette étude, d’un texte du talmud. Nous sommes donc invités à mettre en œuvre une lecture intelligible et raisonnée de ces termes, qui en éclaire la signification sous un jour singulier.
Etude talmudique sur le rapport à la chair animale, avec Emmanuel Bonamy
Tuer et manger de la chair animale, pour habituel que cela soit, n’est en rien évident. Nous partirons de la guemara Houlin 16b, qui pose explicitement la question. Sa logique propre nous amènera à étudier plusieurs passages du Houmash ainsi que d’autres guemarot de façon à en dégager la généalogie. Quelle légitimité y a-t-il à tuer et incorporer un être vivant ? Pourquoi les sacrifices et l’égorgement rituel ? Il apparaît que le meurtre et la jouissance de l’animal engagent le devenir même de l’homme, en tant que ce geste est intrinsèquement lié à la possibilité du meurtre de l’autre homme, et à la jouissance de l’autre sexe. La question de la chair engage donc celle du désir, et de la juste position de l’homme face à l’animal.
Etude talmudique sur la filiation, avec Jérôme Benarroch
Etude des sources bibliques et talmudiques concernant la doctrine de la filiation. Le sujet est complexe, ramifié. Nous savons que, par tradition, la judéité se transmet par la mère, mais il faut en interroger la signification. D’ailleurs, l’identité se transmet-elle toujours par la mère? A partir du traité Kidoushin (68), puis à travers l’étude de différents passages du talmud, on tentera de dégager une ébauche de compréhension de la doctrine rabbinique sur cette question.
Etude talmudique sur le langage, avec Philippe Zerbib
A travers une étude exigeante des textes relatifs aux mitsvots qui travaillent la question du langage et leur traitement par les Sages du Talmud, il s’agira d’éprouver comment la Torah renvoie l’humain à une exigence de conquête de sa propre langue sur fond d’emprise des discours de l’autre (idéologie, inconscient, doxa …), emprise qui empêche la singularité d’advenir. Car la Torah, parole universelle, a besoin de chaque-un pour être entendue.
Etude talmudique sur la royauté, avec David Lemler
Les règnes de David et de Salomon constituent un âge d’or de l’imaginaire biblique. La poésie et la sagesse au pouvoir rendent possibles la construction du Temple et l’accomplissement plein et entier de la promesse. La suite de l’histoire est plus contrastée : les rois d’Israel se montrent tantôt tyranniques, tantôt idolâtres, plus rarement fidèles à l’Alliance.
La royauté ou l’institution donne corps au projet inauguré par la sortie d’Égypte. Elle est aussi porteuse du risque de sa trahison : car lorsqu’Israël demande un roi, il s’agit d’entrer dans l’ordre du monde et de devenir comme tous les autres peuples. C’est dire la fascination qu’exercent les figures du pouvoir pur : Pharaon, Amalek, Nabukodonosor, Assuérus…
Comment concrétiser la promesse sans la trahir ?
Telle est la question que pose le problème de la royauté : mitzwa de se soumettre à l’Un qui libère ou simple concession à la demande populaire d’ordre et de sécurité.
Se faire justice soi même, le regard Talmudique. Etude talmudique dans Baba Kama, avec Norbert Abenaim.
L’esprit occidental se méfie de la subjectivité et face à la question de la justice, va tenter d’évacuer le sujet, pour accéder à l’objectivité. L’idée qu’on puisse se faire justice soi-même sera immédiatement rejetée.
La pensée talmudique, plutôt que de raisonner sur des concepts, le fera sur des situations et affinera peu à peu une position qui tente de réconcilier l’individu et la collectivité, l’efficacité et la justice, la subjectivité et l’objectivité.
A travers l’étude d’un texte de Baba Kama (27b-28a) nous découvrirons cette approche, quelque peu ardue mais combien riche en nuances, et la suivrons vers une possible résolution du dilemme.
Notre vocation est de permettre à chaque personne ayant un désir d’étudier, un besoin de construire du sens, homme ou femme, quel que soit son âge, son degré de pratique, ses connaissances ou ses origines, d’avoir accès à l’expérience de l’étude juive traditionnelle dans un cadre authentique rempli de livres, de questionnements, de paroles et de compagnons d’études.
Au-delà de l’apprentissage d’un contenu, c’est à une véritable expérience personnelle et subjective de l’étude que sont invités les participants. Faire découvrir que chacun d’entre nous est capable de faire parler le texte, d’être le sujet d’une lecture et d’une pensée, telle est la vocation de ce Beit Hamidrash.
Les cours et les sessions proposés sont totalement gratuits pour les participants, afin que les aspects financiers ne soient pas un obstacle ; et que quiconque puisse pousser la porte de ce lieu d’étude sans autre condition que celle d’en éprouver le désir.
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